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Mémorial des Rois,
section  perse                          
Les Paradis Perdus
du Prince Cyrus Pahlavi

par Vincent Meylan

Point de Vue n° 3334
semaine du 13 au 19 juin 2012
Interviews de la Shahbanou d’Iran Sa Majesté l’Impératrice Farah PAHLAVI

Point de Vue n° 3143 du 15 octobre 2008 Anniversaire               
Point de Vue n° 3180 du  1er juillet  2009  Les larmes aux yeux    
Point de Vue n° 3236 du 28  juillet  2010  Les 30 ans de la disparition du Shah 
Point de Vue n° 3304 du 16  nov.  2011 L’Impératrice Farah présente la Princesse Iryana
Articles
Point de Vue n° 3260 du 12 janvier 2011 Farah, la douleur d'une mère
Point de Vue n° 3334 du 13  juin 2012    Les Paradis Perdus du Prince Cyrus Pahlavi
Il est le petit-neveu du dernier Shah d'Iran,
le petit-fils de la Princesse Ashraf Pahlavi.

Le Prince Cyrus Pahlavi expose ses photos
du bout du monde à Paris.
PORTRAIT DU PRINCE CYRUS PAHLAVI
Paradis Perdus du Prince Cyrus Pahlavi 
[ Note du Mémorial des Rois :
 AVERTISSEMENT
Cet article, hélas relativement indigent et passablement bâclé, voire improvisé, du journaliste mondain Vincent Meylan portant sur un jeune Prince perse méconnu aux multiples talents et très tôt confronté à une situation historique exceptionnelle, pèche par ses nombreuses omissions et approximations, en plus de ses erreurs de perspective et d’analyse, qui auront nécessité de multiples notes rectificatives, insérées systématiquement en encre bleue dans le corps du texte, et destinées à corriger l’étonnante myopie et l’affligeante superficialité du journaliste, tout en éclairant le propos, dans une perspective historique qui fait cruellement défaut à son auteur français qui ne semble pas avoir saisi la portée et la profondeur des faits et paroles qu’il s’est contenté de relater ou sommairement citer, sans en saisir ni la logique, ni les implications.
Nous encourageons donc vivement le lecteur à prêter la plus grande attention aux notes additives et correctives qui suppléent en partie aux graves lacunes de l’article brut.
En outre, et ce n’est pas la première fois, les légendes des photos publiées contiennent également des erreurs qui seront signalées par nos soins.]
Il est le petit-neveu du dernier Shah d'Iran, le petit-fils de la Princesse Ashraf Pahlavi.
Cyrus Pahlavi expose ses photos du bout du monde à Paris. Son exposition est aussi une manière de dire adieu à l'île de son enfance, Arros, où il a passé les années les plus dures de la révolution iranienne [Note du Mémorial des Rois : voir plus bas la longue note rectificative sur l’appellation impropre et falsificatrice de « révolution iranienne » et ses improbables dérivés journalistiques « vincent-meylanesques »]
  
Deux kilomètres de long, sur un kilomètre de large. Autant dire qu'on en fait le tour en moins d'une heure. Quelques milliers d'arbres. Et une vue époustouflante sur l'Océan indien.
Juste en face, l'atoll aux trois quarts engloutis de Saint-Joseph, ses sables à moitié émergés et ses rochers donnant des couleurs d'opale à l'horizon.
Cyrus a dix ans et il découvre son domaine: Arros, une île alors inconnue qui est devenue célèbre depuis quelques années, grâce à l'une de ses illustres résidentes, Liliane Bettencourt.
Janvier 1979. Le monde est ébranlé par la Révolution islamique iranienne (sic !) [Note du Mémorial des Rois : Vincent Meylan innove maladroitement en forgeant la formule hapaxique et oxymoronique de « révolution islamique iranienne » (sic !), appellation impropre et historiquement fausse, en lieu et place de l’expression consacrée et seule authentique et constamment attestée de « Révolution islamique ». En effet, nul en Iran n’a jamais qualifié cette révolution d’iranienne, ni ses détracteurs iraniens, ni même jamais aucun de ses protagonistes, et pour cause, elle fut anti-iranienne dans son essence même, les révolutionnaires, internationalistes, tant islamistes que marxistes, partageant la même exécration principielle de la notion de Patrie, et singulièrement la même détestation de l’iranité et du persianisme plurimillénaire ipso facto ancré dans l’Antiquité perse antéislamique].
Le Shah et la Shahbanou ont quitté leur pays le 16 [janvier 1979]. Toute la famille impériale est partie dans les semaines qui ont précédé.
L'Etat islamique qui prend le pouvoir à Téhéran

[Note rectificative du Mémorial des Rois :
par un raccourci historique insultant pour l’Histoire et outrageant pour la mémoire de tous ceux qui tentèrent jusqu’au bout de contrer et d’enrayer la funeste Révolution islamique de l’ayatollah Khomeyni, le journaliste Vincent Meylan assimile implicitement et faussement à la chute de la Monarchie ce qui ne fut qu’un départ en voyage, censément provisoire, des souverains perses.

En piètre historien adepte des simplifications abusives et des raisonnements a posteriori, il omet volontairement « l’intermède » capital et crucial du gouvernement royal dirigé par le dissident royaliste régimiste Chapour Bakhtiar (qui donc en France n’aurait pas entendu parler de ce grand francophile qui périt tragiquement?), Premier ministre résolument contre-révolutionnaire et anti-islamiste (antinomique de la Révolution islamique en devenir), nommé par le Shah peu avant son voyage à l’étranger et auquel le souverain perse, par son éloignement temporaire, voulait laisser les coudées franches dans la gestion de la crise.

Ce n’est que le 11 février 1979, et non point le 16 janvier comme le laisserait penser l’article de Vincent Meylan, soit 26 jours après le départ du Shah, et seulement à la suite d’une brutale insurrection organisée par des terroristes professionnels formés pendant des années dans des camps d’entraînement terroriste à la guérilla urbaine et s’étant emparés de réserves d’armes de l’Armée à la suite de l’attaque d’une caserne, que le dernier Premier ministre du Shah, Chapour Bakhtiar, garant de la ligne laïciste de la Monarchie perse, fut renversé par une horde de révolutionnaires islamistes et marxistes sanguinaires, antimonarchistes porteurs de projets totalitaires.]  
  
L'Etat islamique qui prend le pouvoir à Téhéran instaure une terreur religieuse [Note du Mémorial des Rois :
cette Terreur fut tout autant, sinon plus, révolutionnaire (à l’instar de la Terreur robespierriste) qu’islamique, et si facteur aggravant que soit la dimension islamiste du phénomène répressif, il ne faut point en occulter ni minorer le caractère intrinsèquement et structurellement révolutionnaire, qui fait écho tant à la France révolutionnaire de 1793 sous Robespierre qu’à la Russie bolchévique de 1917 déjà sous Lénine, la Terreur étant le corollaire de toute Révolution, a fortiori en 1979 en Iran dans une Révolution fomentée par des terroristes nourris de deux totalitarismes idéologiques islamiste et communiste.]

  
Point de Vue n° 3260  Dossier spécial sur la disparition du Prince Alireza PAHLAVI
semaine du 12 au 18 janvier 2011
La Princesse Ashraf, soeur jumelle du Shah
Les condamnations à mort, les lapidations et les fatwas se multiplient.
[Note du mémorial des Rois : à noter que le châtiment ô combien barbare de la lapidation a été brutalement et anatopiquement instaurée en Iran dès les premiers jours de la Révolution islamique avec l’entière approbation des marxistes, alliés alors (et pour encore plusieurs années) aux islamistes, unis contre le régime laïcisant du Shah d’Iran, et cela, sans qu’aucune des « belles âmes » qui avaient tant critiqué le régime jugé « autoritaire » du Shah n’exprimât alors la moindre condamnation du régime islamiste, ni n’éprouvât la moindre compassion pour les victimes du Nouvel Ordre islamique]
Juste après le Shah lui-même, sa sœur jumelle, la Princesse Ashraf, dont on a toujours dit qu'elle était la tête politique de la famille et la femme la plus influente du pays, est sur la liste des personnes à abattre. [Note du Mémorial des Rois : la Princesse Ashraf, par son incroyable charisme indéniablement hérité de son auguste père le Grand Roi, et par sa farouche indépendance d’esprit, personnifiait la spectaculaire et formidable émancipation, par la dynastie Pahlavi, des femmes iraniennes, ce que vilipendaient les forces noires les plus rétrogrades et les plus arriérées du pays, d’où la cristallisation d’une partie de l’opposition sur la personne de la Princesse rebelle].
Et la menace n'a rien de symbolique.
«Ma grand-mère est aujourd'hui très âgée [Note du Mémorial des Rois : en tant que sœur jumelle, la Princesse a l’âge exact qu’aurait eu le Shah, si ce dernier n’avait succombé, en 1980, à un cancer fort mal soigné… le Shah, s’il avait survécu, serait aujourd’hui nonagénaire], mais à l'époque elle n'avait peur de rien, se souvient Cyrus. Elle a échappé à plusieurs tentatives d'assassinat.» 
[Note du Mémorial des Rois : Notamment dans le sud de la France, à peine trois mois avant le début des premiers troubles pré-révolutionnaires en Iran, la voiture de la Princesse Ashraf fut criblée de balles, son amie et confidente, et accessoirement dame de compagnie, Forough-Azam Khajeh-Nouri occupant la banquette arrière, sera touchée de plein fouet et succombera à ses blessures, attentat terroriste jamais élucidé et qui visait sans conteste à éliminer la charismatique sœur jumelle du Shah d’Iran, considérée comme un sérieux obstacle aux plans d’une Révolution planifiée de longue date et orchestrée depuis l’étranger. Corroborant cette analyse, d’autres cas similaires de « suppressions opportunes » précèdent la Révolution islamique comme pour en aplanir le terrain. En effet, d’autres personnalités royalistes de premier plan avaient été « préventivement éliminées », parfois dans des attentats maquillés en accident, comme pour le général Khatam, fervent royaliste et fidèle du Shah, dont la seule présence, s’il avait survécu au sabotage avéré de son deltaplane (comme le prouva l’enquête interne diligentée par la Savak), aurait pu anéantir tous les projets de conspiration étrangère ourdie contre la Monarchie perse]. 
Son fils, le Prince Shahriar [Note du Mémorial des Rois : intrépide et très admiré officier de la Marine Impériale perse, immensément populaire en Iran en particulier dans l’Armée, figure héroïque de la Résistance royaliste en exil, réputé d’une très grande humilité, d’une probité exemplaire et d’un courage exceptionnel, et qui préparait le renversement de l’ayatollah Khomeyni et la Restauration de la Monarchie] l'oncle de Cyrus, aura moins de chances. Il a 34 ans lorsqu'il est exécuté dans les rues de Paris [Note du Mémorial des Rois : dans le XVIe arrondissement] par un fanatique (sic !) [Note du Mémorial des Rois : le terme de « fanatique » curieusement et maladroitement choisi par le journaliste vraisemblablement peu au fait des affaires iraniennes, qui donnerait, à tort, à penser à une action individuelle ( !), est plus que trompeur et totalement inadéquat, car il occulte et masque le caractère avéré de crime d’Etat de cet assassinat politique commandité en haut lieu depuis Téhéran et revendiqué, suprême impudence, le jour même, en conférence de presse internationale, par le sanguinaire ayatollah Khalkhali, bras droit répressif du sinistre ayatollah Khomeyni. Il s’agit ni plus ni moins que d’un crime d’Etat terroriste perpétré par un commando islamiste agissant sur ordre de l’Etat.
Le Prince Shahriar, Valagohar Shahriar selon la titulature perse, fut ainsi le tout premier opposant iranien assassiné en exil après la Révolution islamique, le PREMIER d’une très longue liste, près d’une centaine en exil, qui compta notamment le Premier ministre Chapour Bakhtiar, sauvagement égorgé et décapité au couteau en France en 1991 par un commando terroriste islamiste envoyé par le régime des ayatollahs, onze ans après avoir réchappé à un premier attentat sanglant perpétré en juillet 1980 par le « célèbre » commando Naccache, naguère bras droit du terroriste Carlos et rallié au khomeynisme] au mois de décembre [Note du Mémorial des Rois : très précisément le 7 décembre, date anniversaire commémorée par la communauté iranienne royaliste de Paris, page internet d’hommage : www.valagohar.org] de cette même année 1979.
[Voir à ce sujet, le site du Comité international contre le Terrorisme d’Etat : www.Terror1979.org/prince.html ]

  
Sur son île, Cyrus échappe à ce climat d'angoisse. Le petit prince vit en maillot de bain toute la journée et en moins de six mois ses cheveux sont devenus totalement blonds. Aujourd'hui, lorsqu'il regarde les photos datant de cette époque, il s'étonne à peine:
«Je ressemble vraiment à Mowgli dans Le Livre de la jungle. Je me suis très vite adapté à cette vie avec la nature. J'avais des précepteurs bien sûr et mes parents venaient me voir chaque fois qu'ils le pouvaient, mais c'était tout de même très particulier. Une existence hors du temps et totalement coupée de la vie moderne.»
  
Difficile pour un enfant de faire la part entre le rêve et la réalité lorsqu'il est coupé du monde sur une île perdue, même si les conditions de vie y sont plutôt confortables. Ce sont ces cinq années passées à Arros qui poussent Cyrus à solliciter son imaginaire pour se créer un univers secret. Sur une photo provenant de son album personnel, on l'aperçoit sur l'escalier de la maison principale. Les murs sont encombrés de dizaines de dessins de toutes tailles. «Sur l'île, je dessinais tout le temps», se souvient-il.
Son exil dure cinq ans. Le temps que la menace venue d'Iran se relâche.
« Le retour à la civilisation a été beaucoup plus compliqué. Tout me semblait étrange et difficile à accepter. Mes parents m'ont inscrit au Rosey, la célèbre école suisse [Note du Mémorial des Rois : Institut Le Rosey, prestigieux pensionnat suisse fondé en 1880 et mondialement réputé où le propre père du Prince Cyrus, le Prince Shahram, diplômé de Harvard, a étudié, et avant eux, le Shah lui-même et ses frères], et je me souviens encore de ma perplexité devant l'idée de porter des souliers. J'avais vécu pieds nus pendant cinq ans. L’uniforme, la cravate tout cela n'avait aucun sens pour moi.»
Le fils aîné de la Princesse Ashraf, le Prince Shahram, venu assister à Paris le 5 juin au vernissage de son fils le Prince Cyrus.
Sur cette photo, en compagnie de Michel DAVID-WEILL [membre de l'Académie des Beaux-Arts à l'instar de Sa Majesté la Shahbanou.]

[Note du Mémorial des Rois : la légende publiée sur la photo même en encre blanche dans l'hebdomadaire Point de Vue comporte deux erreurs dans la graphie des noms du Prince (manque un h ) et de l'académicien (manque un L au patronyme).]
Le Prince Cyrus, enfant, sur l'ïle d'Arros, à la chevelure couleur d'or.
Le Prince Cyrus, sportif accompli à Arros
Le valeureux Prince Shahriar, officier perse, assassiné en plein Paris le 7 décembre 1979 à la veille d'une tentative de Restauration monarchique dont il devait prendre la tête.
A le voir, aujourd'hui, dans la galerie de Pierre Passebon où il expose ses photos, on se dit que rien n'a changé. Pantalon écossais jaune et noir, tee-shirt aux couleurs vives, une étincelle de rêve dans le regard, Cyrus repousse toujours les frontières de la réalité un peu rude qui règne sur le monde en ce début de XXIe siècle.
Sur ses images dont les couleurs explosent, on reconnaît parfois son épouse Anna, dont la silhouette se détache sur une nature exubérante, saisie à une heure improbable « entre chien et loup».
Justement, elles ont été prises à Arros, il y a quelques années. Elles sont sa passerelle poétique entre le monde réel et le rêve qui l'habite depuis maintenant près de trente années. Elles sont aussi la porte qui le ramène à ses années d'enfance sur son île perdue.
La Princesse Anna, épouse du Prince Cyrus, posant en compagnie de Pierre Passebon, qui expose dans sa galerie les oeuvres photographiques du Prince.
Et encore plus loin, derrière les souvenirs de Robinson enfant, il y a petit-être un autre paradis perdu, un souvenir enfoui plus profondément dans son imaginaire. C'est bien sûr l'Iran de son enfance:
«Mon grand-oncle, le Shah, était un homme extraordinaire, se souvient-il. II était d'une courtoisie parfaite. L'Histoire a été très injuste avec lui.»
[Note du Mémorial des Rois : Le Shah d’Iran est certainement, et de très loin, l’un des personnages historiques les plus outrageusement calomniés de l’Histoire, infiniment plus le Saint-Tsar Nicolas II ou que le Roi martyr Louis XVI, et la légende noire, inventée de toutes pièces par ses détracteurs communistes et islamistes, totalitaires et terroristes, est complaisamment entretenue en Occident et plus particulièrement relayée en France…]
  
Ce monde-là aussi le poursuit.
Artiste [Note du Mémorial des Rois : Peintre et photographe, le Prince Cyrus a aussi été occasionnellement acteur à Hollywood où il a fait quelques apparitions dans des films à grand budget. Lui-même a naguère nourri le projet de produire un grand film sur la vie de son illustre et charismatique grand- mère, la Princesse Ashraf, sœur jumelle du Shah d’Iran et l’une des plus grandes féministes du XXe siècle], prince, nomade, Cyrus est toujours en voyage entre l'Europe et les Etats-Unis. Souvent aussi, il se rend en Russie [Note du Mémorial des Rois : à noter l’engagement humanitaire et artistique du Prince Cyrus, trop modeste pour en faire état auprès d’un journaliste peu réceptif, en faveur des enfants ossètes (frères de sang des Iraniens) survivants du terrible drame de Beslan.], la patrie de son épouse, Anna.
«J'y ai vécu près d'une année à la fin de mes études, juste avant la chute du Rideau de fer. Le pays était encore totalement communiste.»

Dans un de ses albums, Cyrus conserve les photos prises à cette époque. Un paysage du sud de la Russie, pas très loin de cette mer Caspienne qui borde aussi son pays natal.

«Regardez, dit-il. Cela ressemble aux paysages de l'Iran de mon enfance.»

  
La Princesse Niloufar, mère du Prince Cyrus, en compagnie de son amie Doris Brynner, veuve de l'acteur Yul Brynner.
Une des oeuvres de l'exposition photographique du  Prince Cyrus
Une des oeuvres de l'exposition photographique du  Prince Cyrus.
Photo officielle de la famille impériale à l'occasion du couronnement le 26 octobre 1967. La Princesse Ashraf se trouve à l'extrême-droite de son auguste frère jumeau, le Shahinshah Aryamehr.
La Princesse Ashraf avec ses deux fils les Princes Shahram et Shahriar, et sa nièce, la Princesse Shahnaz, issue de l'union du Shah avec la Princesse égyptienne Fawzia.
[Note du Mémorial des Rois :  la photo est mal légendée dans le magazine Point de Vue qui, assez mal informé, a confondu la Princesse Shahnaz avec la Princesse Azadeh, laquelle ne figure pas sur la photo!
VOIR L'exposition « Lost Paradise »
du Prince Cyrus Pahlavi,

Galerie du Passage
(www.galeriedupassage.com),
20-26 galerie Véro-Dodat, 75001 Paris,
(entrée au niveau du 10 de la rue Croix des Petits Champs)

du 6 juin jusqu'au 30 juin 2012.
La Princesse Shahnaz, devenue adulte, parfaitement reconnaissable sur la photo précédente.
L'île d'Arros où le Prince Cyrus a passé une partie de son enfance.
Sa Majesté la Shahbanou et son petit-neveu le Prince Cyrus
au vernissage de son exposition photographique le 5 juin 2012